15 décembre 2011
DANS L'ACTUALITE
Les fêtes de fin d'année sont proches. Mais l'actualité n'est pas toujours souriante pour autant. Chacun comprendra à quoi je fais allusion.
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Grenades et kalachnikof à Liège.
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Elles se préparaient à fêter la fin de l'année dans la joie. Par la faute d'un déséquilibré, des centaines de personnes se retrouvent blessées dans leur chair ou dans leur esprit. Parmi les questions qui se posent, la problématique de la libération conditionnelle vient en tête. Déterminer la non dangerosité d'un individu, souvent récidiviste de surcroît, s'apparente au "jeu" de la roulette russe. D'autre part, combien de fois n'entend donc pas la phrase : "L'individu était bien connu des forces de police". Bien sûr, on ne peut pas emprisonner "à tour de bras". Mais, il y a des individus n'ayant plus leur place dans la société. Et, pour les cas récupérables, un suivi psychologique ne peut être un luxe.
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Crime d'honneur... Crime d'horreur.
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Le procès de la famille de Sadia aux assises de Mons se termine par la condamnation de toute la famille. Ceci ne rendra pas la vie à la jeune femme assassinée par son frère pour refus de mariage forcé. Je suis tout le contraire d'un raciste mais certains aspects de leur culture me posent question. Qu'est ce que ce truc : de jeunes femmes toujours sous le joug du "pater familia" et de la famille. La mère avait déclaré antérieurement au drame : "Je préfèrerais la voir morte que de la voir mariée à un autre qu'un Pakistanais". Les nombreuses infidélités de son mari ne semblent pas lui poser problème. Ses maitresses seraient-elles toutes Pakistanaises ? Si oui, alors ce n'est pas grave.
Dans une réflexion plus large se pose la problématique de l'infériorité de la femme, le port du voile pas grave mais, le tchador ça me révolte. Il reste aussi des situations machistes dans notre culture. Même si elles sont théoriquement permises, combien de fonctions n'échappent-elles pas aux femmes ? Et au sein de l'Eglise, là c'est un veto : pas de femme prêtre. Pourquoi ? Si on pouvait poser la question à la hiérarchie.
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Les jeunes et l'alcool.
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Il y avait déjà les "alcoopops", cette boisson aux couleurs fluos. Un nouveau breuvage a fait son apparition sur le marché : Tooters. Une fiole de 25 ml aux couleurs vives titrant 14,9 degrés. Une fiole ça va, plusieurs bonjour les dégâts. Ce produit vise une clientèle jeune et féminine. Le distributeur ne se s'en cache pas, il veut conquérir les discothèques et le secteur Horeca. Il y a de plus en plus de jeunes qui ont des problèmes d'alcool. Mais, qu'importe, business is business. "Décidémment, l'argent salit tout ce qu'il touche" écrivait un jour un rédacteur de mon boulot. La vente d'alcool est interdite aux moins de 16 ans. Et pourtant, un jeune sur trois en consomme d'une façon régulière. Les magasins de nuit ne sont pas pour améliorer la situation.
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